Résultat de l’API de MediaWiki

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                        "*": "RECHERCHES DE NOBLESSE. Pour r\u00e9primer les usurpations que les roturiers faisaient de la noblesse et de ses privil\u00e8ges, nos rois \u00e0 diverses \u00e9poques ordonn\u00e8rent qu'il serait fait des Recherches de ces usurpateurs, et que tout individu se disant noble, serait tenu de justifier de cette qualit\u00e9 par titres authentiques. \n\nParmi les diff\u00e9rentes Recherches particuli\u00e8res \u00e0 quelques provinces, ou g\u00e9n\u00e9rales dans tout le royaume, qui ont \u00e9t\u00e9 ordonn\u00e9es, soit \u00e0 l'\u00e9gard des francs fiefs, soit \u00e0 l'\u00e9gard des tailles, soit \u00e0 l'\u00e9gard des titres de noblesse durant le XIVe, XVe, XVIe et XVIIe si\u00e8cles, la plus fameuse par la rigueur des proc\u00e9dures, la dur\u00e9e des poursuites, et la quantit\u00e9 des amendes vers\u00e9es dans le tr\u00e9sor public, est celle qui fut commenc\u00e9e avec beaucoup de rigueur en 1666, \u00e0 l'instigation du grand Colbert, suspendue en 1674, \u00e0 cause des guerres, reprise en 1696, avec moins de s\u00e9v\u00e9rit\u00e9, et qui enfin n'a enti\u00e8rement cess\u00e9 qu'en 1727. \n\nLa plupart des Recherches furent d'abord confi\u00e9es aux traitants (ou fermiers), qui, trop avides d'argent, inqui\u00e9t\u00e8rent l'ordre entier de la noblesse, et refus\u00e8rent quelquefois justice \u00e0 de pauvres gentilshommes, pour \u00e9couter favorablement de riches usurpateurs qui se firent maintenir. \n\nCependant la Recherche de 1666 fut mieux confi\u00e9e, et les intendants des provinces en furent exclusivement charg\u00e9s avec pouvoir de juger d\u00e9finitivement, en laissant toutefois aux condamn\u00e9s la facult\u00e9 de se pourvoir au conseil d'\u00e9tat dans les six mois de la signification des jugements de condamnation. \n\nLes commissaires d\u00e9partis des intendants, pendant le cours de ces Recherches, se trouvant arr\u00eat\u00e9s \u00e0 l'\u00e9gard des gentilshommes, dont les anciens titres, ou les titres primordiaux de noblesse \u00e9taient adir\u00e9s ou n'existaient plus ; il fut d\u00e9cid\u00e9, par arr\u00eat du conseil du 19 mars 1667, que ceux qui avaient port\u00e9 les titres de chevalier et d'\u00e9cuyer depuis 1560 avec possession de fiefs, emplois et services, et sans aucune trace de roture avant ladite ann\u00e9e 1560, seraient r\u00e9put\u00e9s nobles de race, et comme tels maintenus. Quant \u00e0 ceux dont les titres n'\u00e9taient accompagn\u00e9s ni de fiefs, ni de services, les commissaires exig\u00e8rent de leur part une preuve de deux cents ans de qualification ; ce qui, par cons\u00e9quent faisait remonter la preuve \u00e0 1467, et toujours sans aucune trace de roture ant\u00e9rieure \u00e0 cette derni\u00e8re \u00e9poque. Mais la d\u00e9claration du roi du 16 janvier 1714, enregistr\u00e9e \u00e0 la cour des aides le 30 du m\u00eame mois, limita la preuve \u00e0 cent ann\u00e9es, \u00e0 compter du 30 janvier 1614. \n\nJ'en ai parl\u00e9 \u00e0 l'article Possession centenaire et j'y renvoie. Voyez aussi Maintenue. \n\nIl y a d'anciennes ordonnances tr\u00e8s s\u00e9v\u00e8res sur les Recherches des faux nobles ou usurpateurs de noblesse ; celle d'Orl\u00e9ans, article 110, porte que les usurpateurs d'armes timbr\u00e9es (1) seront punis par les juges ordinaires comme pour crime de faux. Celle de Blois, article 257, rendue sur la demande des \u00e9tats g\u00e9n\u00e9raux du royaume, confirme celle d'Orl\u00e9ans. \n\nd'apr\u00e8s le Dictionnaire encyclop\u00e9dique de la noblesse de France\nNicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842)  \u2014 Paris, 1816"
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                        "*": "D\u00e9but 2012, on trouvait \u00e0 la cote MI526023_001 un registre contenant, entre autres, des listes alphab\u00e9tiques des actes de la paroisse Sainte-Marie de 1618 \u00e0 la r\u00e9volution.\n\nMi 2012, la cote a chang\u00e9 et est maintenant [http://archives-num.cg24.fr/pleade342/img-viewer/etat-civil/Sarlat_Paroisse_Sainte-Marie/FRAD024_5MI526027_001/viewer.html 5MI526027_001].\n\n== Description==\n\nPour la p\u00e9riode de 1618 \u00e0 1699, les bapt\u00eames sont de l\u2019image 423 \u00e0 l\u2019image 582, les mariages de 676 \u00e0 758 et les inhumations de 583 \u00e0 674. Pour la p\u00e9riode de 1700 \u00e0 1789, les bapt\u00eames sont de 112 \u00e0 267, les mariages de 759 \u00e0 879 et les inhumations de 267 \u00e0 400. Par exception, les mariages de l\u2019ann\u00e9e 1740 sont sur les images 880 et 881.\n\nCes listes ne sont pas tout \u00e0 fait exhaustives puisque lors de l'\u00e9tude de la famille de Ravilhon au XVII\u00e8me si\u00e8cle ont \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s deux actes de \nbapt\u00eames qui n\u2019\u00e9taient pas mentionn\u00e9s dans la liste, ceci sans faire un balayage syst\u00e9matique de toutes les images mais seulement en cherchant les actes de bapt\u00eame correspondant \u00e0 des enfants inhum\u00e9s dont les actes de bapt\u00eame n\u2019\u00e9taient pas list\u00e9s et dont l\u2019\u00e2ge lors de l\u2019inhumation permettait de limiter fortement la recherche. Il est donc parfaitement possible de trouver des actes suppl\u00e9mentaires.\n\n== Cas particuliers ==\n\nPour la famille de Cremoux au XVII\u00e8me si\u00e8cle, on trouve les bapt\u00eames sur l'image 460, les mariages sur l'image 696 et les s\u00e9pultures sur l'image 605 ; en revanche il n'y a pas d'acte au XVIII\u00e8me si\u00e8cle.\n\nPour la famille de Ravilhon au XVII\u00e8me si\u00e8cle, on trouve les bapt\u00eames sur l'image 544, les mariages sur les images 746 et 747 et les s\u00e9pultures sur l'image 654 et, au XVIII\u00e8me si\u00e8cle, les bapt\u00eames sur l'image 241, les mariages sur l'image 856 et les s\u00e9pultures sur les images 377 et 378.\n\nPour la famille de Gisson au XVIII\u00e8me si\u00e8cle, on trouve les bapt\u00eames sur l'image 196, les mariages sur l'image 807 et les s\u00e9pultures sur l'image 321.\n\nPour la famille de Chabert au XVIII\u00e8me si\u00e8cle, on trouve les bapt\u00eames sur l'image 146, les mariages sur l'image 774 et les s\u00e9pultures sur l'image 288 (mais pour les s\u00e9pultures, il n'y a pas de \"t\" \u00e0 Chabert ; il s'agit donc peut-\u00eatre d'une autre famille).\n\nOn trouve un mariage Gonet x Ravilhon le 29/01/1720, voir image 807."
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